Terma 23 : Au Ciné Avec Said LAmi De Ammi Ali :
Terma 23 : Au ciné avec Said lami de ammi Ali :
Jai trouvé lhistoire de Mahdi bandante, alors je lui ai demandé de me conter la suite de ses débuts. Il ma dit quil avait progressé très vite dans la passion pour la sodomie : « Teremti walfat fissa3 bi zbouba » (ma terma sest vite habituée aux zobs). Voila ce quil ma avoué :
Après mon dépucelage et mes sodomies par le gros zob de ammi Ali, jai immédiatement gouté à ce plaisir sexuel. Alors, pendant les trois soirées suivantes, mon compagnon ma sodomisé plusieurs fois, deux séances chaque nuit avant de nous coucher et une troisième le matin, vers 6h, avant de nous lever pour le chantier. Il me disait « ya oulaydi ! teremtek ajdida ch7al hlouwa ! skhouna wa mla7ma ! zébi hbal 3liha ! » ( fiston ! ta terma vierge est si douce ! chaude et charnue ! mon zob est fou delle !).
Et moi, lui exprimant ma soumission au plaisir : « ya ammi Ali, zébek a3jabni ! ki youdkhoul fi qari, enhiss lahlawa dakhal teremti ! » (ammi Ali, ton zob me plait ! quant il rentre dans mon cul, je sens du plaisir à lintérieur de ma terma ! ). Et jajoutais pour lencourager : « saha zid kima tabgui ! zebek akhchine wa mtine ki louted ! nachtih ki youd khoul ! » (sil te plait, continues comme tu le désire ! ton gros zob est dur comme un pieu ! je laime quant il senfonce !).
Alors, il ma défoncé le cul comme jai aimé lêtre. Jai été enchanté de cette première expérience. Javais lu, dans les livres que cétait difficile et douloureux. Mais, moi, jai trouvé que même les quelques douleurs me procuraient du plaisir et jen redemandais. Quant le zob quittait mon cul, je ressentais comme un manque de jouissance, presque une douleur sexuelle. Je voulais que ce gros zob reste toute la nuit à lintérieur de ma terma. Dormir et rêver avec ce zob dans mes entrailles, cest un plus de jouissances toute la nuit. Hélas, ammi Ali, dès quil a assouvi sa deuxième sodomie, sendormait rapidement et je devais attendre laube pour gouter, peut-être une autre partie de plaisir.
Le quatrième jour était un samedi, début de week end, mais ammi Ali, maçon, travaille comme les autres jours de la semaine. Parfois, même le dimanche matin, il fait des heures sup ou remplace un collègue car le chantier ne sarrête jamais. Moi, par contre, jai congé le week end à cause de mon poste de travail. Donc, ce matin, après avoir pris son petit déjeuner que javais réchauffé, ammi Ali est parti au travail et moi, en pyjama, jai préféré faire un peu la grâce matinée. Vers 8h, alors que je me prélassais au lit, un peu déçu de ne pas avoir eu, ce matin, ma dose de sodomie et que ma terma était toute moite de désir inassouvi, on toqua à la porte.
Je me suis levé tel quel et ouvert la porte. Cétait Said, un ami de ammi Ali qui mavait été présenté une fois. Cétait presque une photocopie physique de ammi Ali, mais il était un peu instruit et travaillait comme factotum au bureau, donc il bénéficiait aussi du week end. Je lui ai rappelé que ammi Ali était au boulot, mais il ma dit que cétait de moi quil avait besoin. Il a insisté et jai pensé quil voulait que je lui écrive une lettre aux siens, alors jai du le laisser entrer. Jétais gêné à cause de mon pyjama serré sur mon derrière et de ma terma échaudée qui me taquinait.
Je me suis assis sur le lit pour lui laisser la chaise mais Said est resté debout devant moi dans une attitude presque arrogante. Et, sans crier gare, il ma avoué : « asma3 ya oulaydi ! rani 3araf wach rakoum edirou enta wa Ali koul layla! » (écoutes fiston ! je sais ce que vous faites, toi et Ali chaque nuit!). Jétais choqué et je me suis relevé avec violence pour lui demander de sortir tout de suite.
Mais il ma retenu avec ses bras puissants et a continué : « sa7bi Ali rah gali koulou chay ! bili g3arlek qarak ! wa enik fik koul layla ! wa teremtek hlouwa ! » ( mon ami Ali ma tout dit ! quil ta ouvert le cul ! et quil te nike chaque nuit ! et que ta terma est douce !). Javoue que ses paroles mont beaucoup plus excité que fâché, mais je voulais protester.
Avant même que je ne réponde, il ajouta « ya habibi ! enikak ! et7ab wala lala ! enikak ana thani ! chouf zébi ! ekhchine wa mtanane 3alek ! kheir mine nta3 Ali ! » ( ya mon ami ! je vais te niker ! tu veux ou tu veux pas ! je vais te niker moi aussi ! regardes mon zob ! épais ! gonflé pour toi ! meilleur que celui de Ali !). Et sans crier gare, il sortit son zob bandé et le pointa vers moi.
Jai été effrayé et par son attitude violente et par sa carrure. Son zob bandé me narguait, alors jai essayé de le raisonner « ya si Said ! raq ghalat ! 3ammi Ali sadiqi faqat ! » ( si Said ! tu te trompes ! ammi Ali est seulement mon ami !). Alors, il ma assommé avec la dernière vérité : « Ali gali rak tachti eneyk ! 3ala hadha rah ezid inikak esba7 thani ! chich warini teremtek ! raha maza lat miliana zana ! sah wala lala ! » (Ali ma avoué que tu aimes la sodomie ! cest pourquoi il te nike aussi le matin ! chiche ! montres moi ta terma ! elle doit être encore rempli de son sperme !). Pour ce matin, Said sest trompé, ma terma est vide de sperme, mais pour le reste il avait raison, elle etait chaude et mouillée de désir.
Puis, il a secoué son zob en me regardant avec envie. Que pouvais faire puisque ammi Ali a vendu la mèche à son meilleur ami. Il doit donc accepter que son ami me sodomise aussi. Et puis, en observant son zob, je commençais à en avoir envie. Ma terma sest excitée encore plus et me chatouillait. Elle mordonnait de la laisser se faire plaisir avec ce nouveau zob assez épais, bien gonflé et tendu affamé de désir sexuel. Comme je restais hésitant, debout devant Said et son zob provocateur, il prit linitiative en faisant glisser, sans que je réagisse, mon pyjama sur mes jambes.
Jétais nu devant lui, sans réaction. Alors, il mobligea et maida à me retourner pour lui offrir ma belle terma blanche et charnue. Il sexclama « ya zébi ! 3andou ezhar Ali ! echba3 mine hadhi terma lamcha7ma ! » ( mon zob ! il a de la chance Ali ! il sest rassasié de cette terma charnue !).
Ses doigts glissèrent avec facilité, alors il me dit : « ya zébi ! teremtek raha skhouna ! ta3rag bi echahoua ! » ( mon zob ! ta terma est chaude ! elle sue de désir !). Jétais, en quelques secondes, totalement soumis à ses caresses ! Ma terma, mouillée de désir ce matin et sevrée, cette occasion ne peut être que la marque du destin. Ma terma a de la chance ou de la sorcellerie !
Je ne pouvais quobéir et être content, très content. Jabandonne : « ya Si Said ! hahi layk teremti ! hatli zebek ! ndhougou e7laoutou wa mtantou! » ( Si Said ! voici ma terma pour toi ! donnes moi ton zob ! on va gouter sa douceur et sa puissance !). Il mempoigna les hanches avec violence et ricana « enikek ! enikek ! ya terma elbaydha ! » (je vais te niker ! je vais te niker ! blanche terma !).
Et moi, déjà conquis par lexcitation et le désir : « aroua7 ! nikni fi srir ammi Ali ! echah fih ! » ( viens ! nikes moi sur le lit de ammi Ali ! tant pis pour lui !). Il se débarrassa de ses vêtements et moi, jai ôté totalement mon pyjama puis nous avons plongé sur le lit. La poitrine sur le matelas, la terma bien soulevée, les cuisses et les jambes largement ouvertes, je lui offrais mon cul. Said était affamé car, il me doigta brièvement le cul, puis, sans préparation, plongea son zob directement dans mon anus.
Heureusement que ma terma suait de désir auparavant car ce rush violent, cette saillie animale maurait déchiré le cul. Son zob glissa avec délices à lintérieur de ma terma jusquau fond. Mais, au passage, jai bien senti quil était plus large, plus épais que celui de Ali car il frottait bien mes entrailles en senfonçant.
Ensuite, il commença sa danse de vas et viens en sagrippant à mes hanches. « ya zébi ! teremtek malssa ! hloua wa skhouna ! » ( zébi ! ta terma est lisse ! douce et chaude !). Et moi, je lui avouais avec franchise : « anta thani ! zebek ekhchine ! a3ridh ! i7oukli zayne fi qari ! » ( toi aussi ! ton zob est épais ! large ! il me frotte bien les entrailles de mon cul !).
Enfin, Said, dans une crispation de tout son corps, projeta ses jets de sperme chaud dans mes entrailles en criant sa victoire « ya zébi ! ech7aal anayka 7arra ! teremtek bourkane ya sahbi ! » (zébi ! comme cette nayka est brulante ! ta terma est un volcan ô mon ami !). Son sperme me remplissait les entrailles et ma terma débordait de part et dautre. Ensuite, Said sortit son zob de mon cul et se glissa sur le lit, exténué. Moi, je suis resté un moment pour mieux gouter les frissons qui continuaient à me secouer tout le corps et les chatouillements du sperme de Said dans mon cul.
Puis, je me suis levé pour aller au coin toilettes où je me suis vidé du sperme et nettoyé, puis je suis revenu, encore tout nu vers le lit. Said était toujours couché sur le dos et son zob avait légèrement fléchi sur ses cuisses. Il était long et beau, surtout avec ses poils de pubis très fourni. Je frissonnais et le désir remontait dans ma terma. Cest normal, à cause de la violence de cette sodomie, ma terma n'était pas totalement satisfaite. Alors, jai empoigné le gros zob de Said pour le branler, le lécher et le sucer avec douceur. Il commençait à reprendre sa vigueur, et jai appuyé mes sussions et ma masturbation et après quelques minutes il est redevenu aussi dur quavant. Alors, je me suis accroupi sur la poitrine de Said et tenant son zob par la main, je lai enfoncé dans ma terma.
Assis et bien enfoncé sur le zob de Said, je me suis branlé la terma doucement en oscillant du derrière et des fesses. Grâce à mes mouvements du cul, parfois accélérés, parfois lents et appuyés, me soulevant avec douceurs et menfonçant en force sur ce gros zob, jai réussi à obtenir rapidement du plaisir et beaucoup de jouissances. Said me regardait avec des crispations de plaisir de tout son corps.
Il a réussi à mavouer : « zébi ! gali Ali rak tachti eneyk ! bassa7 teremtek ma tach ba3ach ! teremtek qahba li zbouba ! « ( zébi ! Ali ma dit que tu aimes le neyk ! mais ta terma nest jamais rassasiée ! ta terma est une putain pour zobs !). Et moi, tout en haletant de plaisirs : « ahdar ! Bassah khali zebek enikni bi alqouwa ! » ( discutes ! mais laisses ton zob me niker avec force !).
Et jai dansé sur ce zob pendant un long moment jusquà ce que Said perde sa passivité et son sang froid et recommence à souffler et haleter avec passion. Il me tenait par la taille mais moi je dansais à ma guise sur son zob. Enfin, il éclata et éjacula une seconde fois, avec autant de puissance et de volume que la première. Cétait chaud et abondant, et, étourdi de plaisirs, je me suis couché sur sa poitrine velue. Un long moment de plaisir commun et son zob était resté en grande partie plongé dans mon cul, laissant le sperme suinter sur mes fesses et les cuisses de Said.
Ensuite, on sest levé pour se laver et se nettoyer. Il ma avoué quil était très content car au début, il navait pas autant despoir que jaccepte de me faire sodomiser. Mais dès quil mavait vu en pyjama serré sur mon cul et quil avait humé mon odeur, il avait bandé férocement et savait quil allait me niquer coute que coute, me violer si nécessaire. Je lui ai demandé si je devais avouer notre relation à Ali mais il men a dissuadé car il savait que Ali était très jaloux et aussi violent que lui et que ma terma devait rester disponible pour les deux hommes, mais en cachette.
Ensuite, il ma invité en ville, au cinéma. Jai mis, juste mon jogging léger, et par-dessus mon tricot, une veste à cause des poches pour les papiers et largent et nous somme partis en ville, par le bus. Après une longue promenade un peu partout et un casse croute consistant quil mavait offert, nous sommes allé au cinéma. Malgré mes protestations, car je voulais un film de guerre, Said a décidé de nous offrir un ciné porno et on y est allé rapidement.
Dans le noir de la salle, Said ma guidé vers le milieu dune rangée, apparemment vide. A lécran, il y avait deux hommes et une femme. Un homme, en sandwich, baisait la femme en levrette pendant que lautre homme, debout, le sodomisait avec vigueur. Soudain, Said sortit son zob et commença à se masturber et ma demandé den faire autant. Jai refusé, alors il ma pris la tête et ma baissé sur son zob. Jai commencé à le branler et à la sucer doucement.
Les images et même les gémissements et cris de plaisir à lécran mexcitaient et des frémissements commençaient à me chatouiller le bas ventre et la terma. Jai enlevé totalement le pantalon et le slip de Said pour mieux le branler et le sucer. Trois minutes ont suffi pour que son zob devienne dur et gonflé et jen avais envie car mon cul suintait de désir, donc jai pris linitiative de la sodomie.
Alors, jai aussi glissé mon jogging sur mes jambes et, nu sous la ceinture, je me suis déplacé pour assoir mon cul sur les cuisses de Said. Je sentais bien son gros zob gonflé et dur comme un pieu sur mes fesses et contre mon anus. Said sest penché en arrière pour que je puisse mieux massoir sur la chair de ses cuisses et sur son zob. Jai bougé légèrement, et immédiatement la grosse bite de Said sest glissée dans ma terma, jusquau fond, jusquaux couilles. Cétait merveilleusement agréable.
Said ma murmuré « ma tkhafach ! rahoum enass ga3 inikou fi cinima ! kima 7na ! » (ne crains rien ! les gens sont aussi en train de baiser dans le cinéma ! comme nous !). Et moi, penché sur le siège avant, le souffle affolé et en chuchotant « eneika fi cinima a7la mine edar ! » (la neika dans le ciné est meilleure que dans la maison !). Jai continué à remuer et à branler son zob avec ma terma tout en lui faisant aussi des roulis pour bien frotter. Cétait formidable et très excitant. Jai fermé les yeux pour mieux gouter cette sodomie publique. Et enfin, jai senti son éjaculation dans mes entrailles et cela ma donné tellement de jouissance que jai crié sans me rendre compte.
En ouvrant les yeux, surprise, il y avait un homme assis à coté de moi, à ma place, qui se branlait en nous observant. Said ma dit que ce nétait pas grave et que ça arrive souvent ce genre de chose. Lhomme a continué à se branler et on la laissé faire. Jétais toujours penché en avant, le derrière découvert. Lhomme observait mes fesses et mon cul et le zob de Said planté dans ma terma.
De sa main libre, et avec un peu dhésitation, il ma caressé les fesses jusquau zob de Said et soudain il a éjaculé sur le dossier du siège devant nous. Puis il est parti sans un mot. Je me suis levé du zob de Said pour rejoindre mon fauteuil. Mais avant de massoir, alors que le sperme suintait de mon cul, deux mains mont attrapé les hanches par derrière. Je me suis retourné avec surprise et jai vu un autre homme derrière nos fauteuils qui me tenait le cul et il ma fait signe de rester debout.
Puis il a enjambé le fauteuil pour se mettre au niveau de mon siège. Jétais maintenant, debout et nu du derrière devant lui. Said nous regardait mais il na rien fait et rien dit. Lhomme, qui tenait toujours ma hanche nue avec une main, a sorti son zob avec son autre main et, sans un mot, il ma donné quelques tapes avec sa bite sur les fesses et sur le sillon de lanus largement ouvert et humide de sperme. Cétait un long zob, pas très gros mais très long et ses frappes mont excité.
Javais un peu peur, surtout que Said restait sans bouger, mais je me suis laissé faire. Penché sur le fauteuil de devant jai même gonflé un peu plus mon derrière pour mieux recevoir ce nouveau zob qui pénétrait avec aisance dans mon cul grâce au sperme de Said. Lhomme a commencé ses vas et viens en ahanant avec force. Son long zob pénétrait plus profondément que ammi Ali et Said. Son zob a touché des zones nouvelles de ma terma et ça ma donné des sensations nouvelles et plus de plaisir. Jai tourné la tête pour lui dire en arabe « zid ! zid douk zebek fi qari ! nikni bi zaf » (continues ! continues de pousser ton zob dans mon cul ! encules moi avec force !). Jétais fâché de lattitude de Said et même de ammi Ali, alors jouvre mon cul à ce zob anonyme !
Surprise, lhomme ma soufflé, lui aussi en arabe « sakri foumok ya qahba ! khali zébi yag 3arlak teremtek ! » (fermes ta gueule putain ! laisses mon zob te défoncer ta terma !). Je vous avoue que cette sodomie ma plu encore plus que la précédente, celle de Said. Un inconnu qui me sodomisait avec force, et en public, cest comme un viol et ça mexcitait. Déjà, jaurais souhaité avoir sucé le zob de lautre homme qui est parti sans rien dire, dommage. Je faisais cela en punition contre ammi Said qui ma presque vendu à son ami et contre Said qui est resté impassible devant ces agressions.
Enfin, lhomme éjacula son sperme dans celui de Said et, rapidement, enjambant le fauteuil, il est parti en me disant « terma skhouna ! bessa7 malssa yasser ! » (terma chaude ! mais trop lisse !). Mais ma terma est bonne, cest le sperme de Said qui la rendue lisse. Je me suis accroupi entre les fauteuils pour vider mon cul de leur sperme puis je me suis succinctement nettoyé avec mon mouchoir et repris ma place sur le fauteuil.
Jai enguelé Said « 3alah khalaytou enikni ! » (pourquoi tu la laissé me sodomiser !). Et Said « rani 3araf teremtek tachti hadha ! ma tach ba3ach bi neyk ! » ( je savais que ta terma aimait cela ! elle nest jamais rassasié de la sodomie !). Jétais fâché, alors je me suis levé et je suis allé minstaller trois ou quatre rangs plus loin.
Dès que jai pris place, un autre homme sest assis à coté de moi et ma pris la main pour la placer sur son zob quil avait sorti. Que pouvais-je encore faire ! Il avait un beau et gros zob déjà bien gonflé. Je lai branlé puis sucé et quant il ma poussé pour massoir sur ses genoux, sur son zob, jai baissé mon jogging. Et, me déplaçant en douceur, je me suis assis sur lui et jai enfoncé son zob dans ma terma. Penché en avant, je lai laissé me sodomiser à sa guise, mais je lui ai dis en français « attention ! néjacules pas dans mon cul mais dehors ! » et il ma répondu, en arabe ! « ma tkhafach ! nikak faqat ! natlag 3ala teremtek mine barra faqat ! » ( ne crains rien ! je te nike cest tout ! jéjaculerais sur ta terma en extérieur seulement !). Je lai laissé faire. Son zob glissait facilement à cause des restes de sperme.
Cinq minutes plus ou moins lui ont suffi. Jai senti son zob qui gonflait encore et je lai repoussé. Il a sorti son zob, sest branlé une ou deux fois et éjacula sur mes fesses. Je me suis essuyé, remonté mon jogging et je me suis assis pour me reposer. Elles mavaient vraiment fatigué, ces sodomies en série, sans souffler. Le gars, parti, je suis enfin resté seul.
Mais je sentais que mes fesses et cuisses, et même mon cul nétaient pas bien essuyés. Alors, je me levé et jetant un il aux alentours, jai repéré la porte « exit » pour aller aux toilettes. Jy sui allé. A lintérieur, deux couples baisaient sans se gêner et même les bruits dans deux cabines prouvaient que dautres se faisaient plaisir à lintérieur.
Je suis entré dans une cabine et fermé le loquet. Puis, je me suis bien vidé le cul puis nettoyé à leau et essuyé au mieux les fesses et les cuisses. Je me sentais ainsi nettement plus propre et à laise. En sortant de la cabine, un jeune arabe sest présenté à moi, face à face, en tenant son zob à la main. Il me regardait et moffrait son zob, alors je lui ai dis « na3 tik et nikni idha ta3 tini teremtek ! aya ! » (je te laisse me niker si tu me donnes ta terma ! allez viens !). Il ma regardé avec deception puis il sest retourné et ma laissé tranquille.
Je suis retourné à la salle et rejoins Said. Il était resté à sa place comme si de rien nétait. Je lai apostrophé avec un semblant de colère : « kifah ! ma rou7 touch ! » (comment ! tu nest pas parti !). et lui, en ricanant : « lala ! kounout 3araf ! trouh tnik ! teremtek takoul fik ! wa tarja3 li ! » ( non ! je savais ! tu iras niker ! ta terma te démanges ! puis tu reviendra vers moi !). Je me suis assis mais il me poussa en disant « aya oulaydi ! enrou7ou ! rah la7ag eleil ! » ( viens mon fils ! on sen va ! il commence à faire nuit !).
On a quitté le cinéma et effectivement il commençait à faite sombre et je dois retourner au baraquement pour faire notre diner à moi et ammi Ali. Et dire que je vais aussi subir les deux assauts de ammi Ali cette nuit ! Ma terma aura passé une journée spéciale !
Et demain dimanche, je suis libre. Donc, le matin, ma terma me dictera le programme de la journée. Mais je savais que jirais en ville, avec ou sans Said, et aux cine porno pour pêcher le maximum de zobs affamés. A cette pensée, ma terma recommença à me chatouiller, la putain et mon ventre se creuse de désir. Vivement demain, jétais devenu lesclave de ma terma en si peu de temps !
Ainsi me racontait mon ami Mahdi, ses débuts sexuels. En lécoutant, javais compris pourquoi il était devenu, par la suite, dans notre petite communauté, notre champion de la sodomie. Il ma avoué que sa terma sest emballé encore plus lorsquelle a gouté des zobs blacks. Ce fut une autre aventure inédite que Mahdi ma contée et que je vous livrerais, peut-être, une autre fois.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!